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Page:Rosny aîné - Nymphée - Le Lion, 1909.djvu/252

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une pose qui faisait deviner tout ce qui se cachait de contours rythmiques, de vie pure et fraîche sous les vêtements de neige. Un de ses bras se dégageait jusqu’à mi-chemin du coude ; la petite main sensitive, le poignet rond et flexible, la chair de liseron et d’églantine, formaient un ensemble aussi séduisant qu’un bouquet de lis ou de roses blanches.