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Page:Rosny aîné - Nymphée - Le Lion, 1909.djvu/301

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accroche son espérance à quelques grosses réalités, et s’efforce de demeurer imperturbable.

Au loin, les forêts barraient d’un trait onduleux la ligne de l’horizon, des dattiers découpaient sur la nuit des silhouettes d’encre. Les moindres choses tremblaient dans le mystère, dans la poésie des pénombres.