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— Qu’il ferait bon vivre ici !
Je fis quelques pas vers l’abri de Sabine, et tout à coup la stupeur, l’horreur, l’épouvante : l’abri était vide !
fin de la première partie
— Qu’il ferait bon vivre ici !
Je fis quelques pas vers l’abri de Sabine, et tout à coup la stupeur, l’horreur, l’épouvante : l’abri était vide !