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C’est à l’âme de CYRANO que je voulais dédier ce poème.
Mais puisqu’elle a passé en vous, COQUELIN, c’est à vous que je le dédie.
E. R.
C’est à l’âme de CYRANO que je voulais dédier ce poème.
Mais puisqu’elle a passé en vous, COQUELIN, c’est à vous que je le dédie.