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Page:Rostand - Les Musardises, 1911.djvu/65

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                        LA FORÊT

La Nature, par qui souvent nous sommes tristes. Nous tous qui l’adorons, les rêveurs, les artistes. — Tandis que jour et nuit nous nous évertuons A vouloir l’exprimer, et que nous nous tuons Au labeur de fixer son image impossible. Nous regarde souffrir et demeure impassible. Donc, j’étais amoureux de la grande forêt. Son sauvage parfum fort et doux m’enivrait :