Page:Rostand - Les Romanesques, Charpentier et Fasquelle, 1911.djvu/73

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Pasquinot.

Et dire un mal affreux…C’était très amusant !

Bâillant.

Bergamin ?

Bergamin, de même.

Bergamin ?Pasquinot ?

Pasquinot.

Bergamin ? Pasquinot ?Ça nous manque, à présent.

Bergamin.

Non, voyons !…

Après réflexion.

Non, voyons !…Si, pourtant. Oh ! c’est très drôle ! — Est-ce que
Ce serait la revanche, ici, du Romanesque ?…

Silence. Il regarde Pasquinot qui lit.

Son gilet est toujours veuf de quelque bouton !
C’est crispant !…

Il se lève, s’éloigne, va et vient.