Page:Rostand - Les Romanesques, Charpentier et Fasquelle, 1911.djvu/76

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Bergamin.

Ce dont je me doutais, maintenant j’en suis sûr !

Pasquinot.

Quoi ?

Bergamin.

Quoi ?Le mur te flattait.

Pasquinot.

Quoi ? Le mur te flattait.Tu perds beaucoup sans mur.

Bergamin.

De te voir tous les jours tu calmas mon envie !

Pasquinot, éclatant

Depuis un mois, Monsieur, ce n’est plus une vie !

Bergamin, très digne.

C’est bien, Monsieur, c’est bien. Ce que nous avons fait,
Ce n’était pas pour nous, n’est-ce pas ?