Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/119

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


 
Oublions ! oublions ! quand la jeunesse est morte,
Laissons-nous emporter par le vent qui l’emporte.
(V. HUGO.)







Sur la vieille cité quand un lourd brouillard pèse,
Oh ! que de fois, ami,
L’imagination, sous le tiède mélèze,
Me ramène endormi !