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AVIS DE L’ÉDITEUR.

où le talent de l’auteur se révélait dans toute sa splendeur. — La dernière et la plus belle peut-être des trois, rappelle beaucoup la fameuse lettre à madame d’Houdetot, une de ces lettres brûlantes dont parle Rousseau dans les Confessions, en nous racontant sa rupture avec cette dame, et qui a été publiée pour la première fois par M. Musset-Pathay, dans l’édition générale qu’il a donnée des œuvres de Jean-Jacques[1].


G. Str.-M.
  1. Cette lettre, qui se trouve insérée dans la Correspondance de l’édition que nous venons de citer, provenait également des manuscrits inédits de Rousseau que possédait la famille Moultou. Une note que nous avons sous les yeux, et qui fut écrite par M. Moultou le fils, à propos de l’apparition de cette lettre, nous apprend que c’est par un abus de confiance, dont on eut des regrets, et qu’on a pardonné, qu’elle a été livrée au public.
    (Note de l’Éditeur.)