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iv


Corvisart et l’Empereur ; la canne de Jean-Jacques Rousseau. — Bourrienne jugé par Napoléon. — Sa tendresse pour le roi de Rome. — Sa sévérité pour le général Guyot. — Napoléon intime. — Je fais pensionner le piqueur Lavigne. — Le docteur Lanefranque. — Corvisart à Schœnbrunn. — Les pistolets de l’Empereur. — Son voyage à Venise ; passage du Mont-Cenis. — Il décachette les lettres de ma femme : avantage que son indiscrétion me procure. — Les cygnes de la Malmaison. — Je manque me noyer dans l’étang de Saint-Cucufa. — Le jeu de l’Empereur. — Napoléon à Fontainebleau. — Bruits de suicide. — Les diamants de la couronne. — Pourquoi je n’ai pas été à l’île d’Elbe. — Je pars pour Dreux. — Anecdotes : Naissance du Roi de Rome. — L’empereur et mon fils. — Mon service de nuit chez l’Empereur. — Bienveillance de Joséphine à mon égard. — Je lui dois de figurer dans le cortège du Couronnement. — L’Empereur et son bottier. — Campagne de Russie : Smorgoni. — Compranoï. — Vilna. — Kovno. — Varsovie. — Posen. — Mon visage gelé. — Dresde. — Erfurt. — Mayence. — Le factionnaire des Tuileries. — Une consultation du docteur Corvisart.