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appendices

Européens qui, d’ailleurs, n’ont guère commencé à faire partie de ce corps qu’en 1809.

Comme, à peu d’exceptions près, elle ne contient que des noms de soldats, de brigadiers et de sous-officiers, nous avons dû recourir aux dossiers personnels des officiers, pour y trouver leurs états de services.

Même ainsi, nous ne pouvions nous flatter d’avoir dressé une liste complète des Mameloucks d’Orient, et nous avons dû consulter d’autres documents pour combler, au moins en partie, les lacunes du registre.

Chaque fois qu’il a été possible de le faire, nous avons reproduit en abrégé : 1o  La date de naissance ; 2o  Le lieu de naissance ; 3o  La date de l’entrée au service, ou celle de l’admission dans le corps des Mameloucks ; 4o  Les campagnes ; 5o  Les blessures ; 6o  Les promotions et décorations ; 7o  La date de la mort ou de l’admission aux réfugiés de Marseille.

N. B. — Nous avons imprimé, avec l’orthographe du registre, les noms des villes qu’il ne nous a pas été possible d’identifier.

Abdalker. — Né en 1788. Darfour (Afrique). Admis 1810[1]. Marseille, 1813[2].

Abdallah (Abel). — Benout (Égypte). Admis, 1808. Campagnes : 1810, 1811, 1813.

Abdallah Mansour. — 1774. Jaffa (Syrie), An VIII. Marseille, an XII[3].

  1. C’est-à-dire « admis au corps des Mameloucks, en 1810. »
  2. C’est-à-dire « admis aux réfugiés de Marseille en 1813 ».
  3. Conformément aux indications de la note de la page précédente, il faut lire : « Né en 1774, à Jaffa (Syrie).