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appendices

non activité, 1er août 1816 ; naturalisé français, 1817 ; retraité, 1829 ; mis à la disposition du maréchal Clauzel, commandant l’armée d’Afrique, 1831 ; retraité à 3,200 francs. 1833. Chevalier de la légion d’honneur, 17 mars 1814. Chevalier de Saint-Louis, 1821. Décédé à Paris, 1824. Doté de l,000 francs, 1808.

Habbié (Guirguès).

Hamaouy (Joseph). — 1772. Damas (Syrie). Nommé capitaine des syriens janissaires, An VI. Chef d’escadrons, An VIII. Commandant du dépôt des réfugiés égyptiens à Melun, An X. Colonel, le 4 avril 1814, confirmé le 8 mai 1810. Campagnes d’Aboukir, Salhié, Balbès, Haute Égypte, Assioute, Monfaloute, siège du Caire. Chevalier de Saint-Louis, 1819[1].

Hassan. — 1785. Mégralie (Géorgie). An VIII. Campagnes : ans VII, VIII, IX, XIV, 1806, 1807, 1808, 1809, 1810, 1811. Porte-queue, 1809. Congédié, 1814.

Helou (Michel). — 1761. Marseille, 1806.

Hialek (Antoine). — 1760. Jérusalem (Syrie). An VIII. Réformé, an X.

Hibrahim. — 1776. Delkamar (Syrie). Entré comme capitaine dans la compagnie des Mamelouks formée en Égypte par le général Bonaparte, le 1er messidor, an VIII. Confirmé dans son grade le 25 germinal, an X.

  1. Ces états de services ont été fournis par Hamaouy lui-même, sous la Restauration, époque où il multipliait ses démarches pour être nommé membre de la Légion d’honneur, ce que, du reste, il ne put obtenir. Il affirmait avoir rendu des services signalés au Français en Égypte comme « grand Douanier du Caire » et avancé de fortes sommes à sa compagnie, lors de son retour en France, mais son dossier ne contient pas les preuves de ses allégations.