Page:Routhier - De Québec à Victoria, 1893.djvu/295

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ne blanchissent pas le linge : ils lavent du sable aurifère !

La voie longe toujours le fleuve qu’elle a quelque peine à dépasser, et qui va nous conduire jusqu’à l’océan Pacifique.

L’air est tiède et embaumé, et des bouquets énormes de roses sauvages émaillent la végétation luxuriante qui borde le chemin.