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QUELQUES COUPLETS

nous faisons modestement bruler sous le nez.

C’est toujours, M. de Foucault qui commence, et il paraît que c’est de moi qu’il parle ainsi :

Avec nous chante un poète
Mélodieux et charmant ;
L’entendre, c’est une fête.
Quand sous le beau firmament
Il dit en voguant sur l’onde
Ses vers pleins de sentiment,
Il enchante tout le monde
On l’applaudit carrément. (bis)

Ces vers me vont d’autant mieux au cœur que le P. Lacasse et M. Jannet battent des mains. Je me sens pris de remords en me rappelant mes couplets sur les premiers échecs de chasse du Comte, et je répare mon injustice, en lui adressant cette nouvelle strophe :