Page:Rowen - La lyre canadienne, 1886.djvu/348

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339- --Mon ami, tu n'as donc jamais vu ta mine ? Car ma fille et toi, c'est la nuit et le jour. Suzon a le teint plus blano que ma farine, Et le tien, mon cher. est plus noir que mon four! Ton seul aspect effarouche l'amour. (bis.) Noir charbonnier, eto. -Il faut me voir. le dimanche, mon compère, Quand j'ui barbe faite et veste de velours, Et puis, In beanté, c'est chose passagère! Moi j'ai du charbon, cela se vend toujours ; Car il en faut pour allumer vos fours. (bis.) Blanc farinier, etc. -Mou voisin, je sais que vous ôtes bon père; Quitter votre fille, est pour vous un ch grin; Mais j'ai dea écus pour arranger l'affaire, Et puis dans la cave un tonne n de bon viu, Pour vons aider à noyez le chag in (bis.) -Noir cha: bonnier, soy. z d» la famille, Marché conclu, je vons donne ma fi!le, Vous me plaisez (ter.) vous Ini plairez, un jour; Car vons avez un charmant caractère. Et de très près qua:d on vous considdre, Vous êtes beau, (tr.) mon ch-r, comme le jour i Et de plus (bis.) vous êtes fait au tour, Enfin vons êtes un amour! Oui, mon cher. (bis.) vous 8tes fait au tour! Vous êtes un petit amour!