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Pommier d’amour.
Porte-chapeau.
Pourpier de mer.
Prunier.
Prunelier.
Ptéléa.

Q. Quinte-feuille.
Queue de Renard.

R. Raisin d’ours.
Rhamnoïdes.
Robinia.
Ronce.
Roseau.
Romarin.
Rosiers.
Rue.

S. Sabine.
Santoline.
Sapin.
Sauge.
Saule.
Smilax.
Sorbier.
Spartium.
Spiræa.
Stœchas.
Staphillea.
Styrax.
Sumac.
Sureau.
Symphoricarpos.
Syringa.

T. Tacamahaca.
Tamarin.
Teucrium.
Thérébinte.
Thuia.
Thimelée.
Thim.
Tilleul.
Toute-saine.
Toxicodendron.
Tremble.
Troëne.
Tulipier.

V. Vigne.
Vigne-vierge.
Vinaigrier.
Viorne.

X. Xylosteon.

Il n’est pas question de plusieurs de ces arbres dans le cours de cet Ouvrage. On a parlé de ceux qui sont vraiment utiles ou agréables ; de pareils détails nous mèneroient trop loin.


PLÉTHORE. Médecine-vétérinaire. Nous entendons par pléthore une augmentation du volume ou de la quantité du sang dans les vaisseaux de l’animal.

Les vaisseaux qui rampent sur la surface du corps, sont distendus ; les veines de l’œil, des lèvres, & de la bouche, sont apparentes ; les artères offrent au tact un pouls plein & des tuniques plus ou moins tendues.

On distingue deux sortes de pléthores : l’une vraie & l’autre fausse ; nous allons parler en détail de l’une & de l’autre.

Première espèce. Fausse-pléthore.

Lorsque la chaleur augmente le volume du sang, les artères battent plus fréquemment que dans l’état naturel, la respiration est plus grande, sans diminution sensible des forces musculaires, les artères sont à proportion presque plus dilatées que les veines, leurs parois un peu tendues, les vaisseaux qui rampent sur les té-