Page:Ruskin - Les Matins à Florence.djvu/44

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Collingwood. Après eux, je me suis efforcé de travailler sous la direction de ce maître que j’aurai l’éternel regret de ne pas avoir connu.

Nous avons été puissamment aidé, dans notre travail, par M. Robert de la Sizeranne qui a bien voulu nous prêter l’appui de ses conseils et de son nom, et par M. Charles Newton Scott dont l’érudition nous a permis d’éviter plusieurs erreurs et de compléter certains renseignements.

Qu’il nous soit permis de leur témoigner ici toute notre reconnaissance, au nom de ces Matins et, mieux encore, au nom du génie dont l’irrésistible attraction nous a valu leur aide et leur bienveillante sympathie.

E. Cammaerts.

Uccle-Bruxelles, avril 1908.