signale cette Circé étonnante à M. Drumont : celle-là encore doit être vendue aux Juifs.
Un sot trouve toujours un plus sot qui l’admire
et le plus mauvais élève, avec le temps, devient instituteur. Jean Bertheroy, si ineptement pédante, a trouvé un disciple, et bien inférieur, en M. Marc Legrand, rédacteur de la Fraternité et auteur de l’Ame antique, journaliste pour nègres et poète pour lui-même.
Or j’ai lu encore des vers, des vers innombrables. J’ai lu de Mme Caro-Delvaille des alexandrins grandiloquents et naïfs, — quelque chose comme du Hugo inharmonieux et gauche, — où
Le mont géant, hautain, millénaire et farouche
daigne répondre longuement,
Comme un aïeul très doux qu’un appel d’enfant touche,
aux questions métaphysiques d’un « homme ébloui. »
J’ai lu des vers mélancoliques et bébêtes, où François Casale (il y a beaucoup de François-les-bas-bleus, sans compter le François-les-chaussettes-roses dont le vrai nom est Francis Coppée) établit une comparaison sully-prud’hommesque entre « nos âmes lassées » et les soleils d’octobre.