Mérigon et établis de plus, avec le lieu de sa naissance, certaines dates de sa biographie. » C’est que ce Mérigon est un particulier bien précieux à connaître. « La banalité, nous dit M. Pierre Brun, voilà pour le fond de l’œuvre la note dominante. » Quant à la langue, « c’est un gros et lourd assemblage de phrases boursouflées et engorgées de superlatifs. » L’aimable écrivain et délicieux à aborder, car son « gros et lourd assemblage de phrases boursoufflées et engorgées de superlatifs » s’efforce d’être, non point, comme chez les modernes universitaires, du vulgaire français, mais du grec, du grec, ma sœur ! D’ailleurs, parmi ses banalités, on découvre parfois des renseignements si intéressants… « Par lui nous savons que le vendredy vingt-septiesme jour de septembre 1630, le roi eut une fièvre très forte… que sa dysenterie était si forte qu’il fut à la garde-robe jusques à quarante fois dans vingt-quatre heures. » M. Pierre Brun, naturellement, se réjouit d’une telle découverte : « Détails un peu bas, sans doute, qu’on peut taxer de trivialité, mais qui nous ont paru ne point manquer d’intérêt et relever, dans une certaine mesure, cette pauvre figure de Louis XIII, en
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