Page:Sébillot - Contes des landes et des grèves.djvu/242

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lion le dévora, et le fermier put reprendre ses habits et son argent.

Et pour le protéger contre de nouvelles aventures, le lion l’accompagna jusqu’en vue de la maison de son maître.


(Conté en 1878, par Jean Bouchery, de Dourdain.)