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Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/142

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sous ma main, regarde leurs petits tétons qui dressent leurs pointes roses. Je vois les veines bleues qui courent sous la peau transparente de ton ventre si joli et si blanc ; tes hanches si harmonieuses et ton petit cul, le plus joli qu’on puisse rêver, avec tes fesses fermes et rebondies.

— Moi aussi je veux te voir, dit Claire, je vais te déshabiller moi-même.

Et prestement elle lui enlève pantalon et chemise de nuit et admire à son tour le joli garçon au corps bien proportionné ; mais ses regards vont au membre raidi et tout de suite ses mains vont caresser le fier et bel instrument d’amour.

Alors le jeune homme, entraînant sa maîtresse, la prend dans ses bras et la dépose sur le lit ; il la couvre toute de caresses et de baisers fous. Délicatement, ses mains palpent ce joli corps, ces seins raidis, ce ventre déjà frissonnant, ces cuisses potelées ; ses doigts agiles frôlent la ravissante conque d’amour. Puis retournant Claire, il la caresse maintenant sur la nuque, sur son dos satiné, sur les fesses rebondies qu’il entr’ouvre pour chatouiller doucement la raie qui les sépare et la mignonne rosette cachée en ce repli ; ses caresses deviennent plus rapides, plus fortes, les jolies fesses sont déjà toutes rouges d’être manipulées.