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Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/141

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un baiser long et tendre dans lequel ils mettent toute leur âme.

Claude sent contre lui le corps souple de sa jolie maîtresse à peine protégé par son peignoir ; il l’adore, ce corps qu’il n’a vu qu’imparfaitement la veille ; il le sait merveilleusement fait, mais il veut le connaître.

— Oh ! ma Claire, que tu es gentille ainsi ! — lui dit-il, — je sens ton cœur battre près du mien, je sens tes seins élastiques et fermes contre ma poitrine, mais ces voiles sont de trop, ma chérie, je veux te voir toute, adorer ton corps si joli, que rien de toi ne me soit caché ; dis, le veux-tu ?

— Oui, mon amant adoré, pour te plaire je ferai tout ce que tu désires.

Et Claude lui enlève son peignoir et ses chaussures, fait glisser la chemise et contemple le ravissant corps nu de la jeune fille ; ses yeux extasiés disent son admiration. Claire, heureuse du bonheur de son amant, s’offre toute à ses yeux, souriante et complaisante, tournant à sa demande pour montrer son dos et ses fesses merveilleusement faits. Et Claude de détailler tout haut :

— Que tu es belle ainsi, ma Clairette ! Ta peau est blanche et douce ; tes seins sont ravissants, vois comme ils sont formés déjà, bien droits et souples