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Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/161

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Elle veut se retirer, mais Germaine la maintient énergiquement.

— Je veux que tu jouisses encore, que tu jouisses à en crier, dit-elle.

La jeune femme enfonce un doigt dans l’anus et en met deux dans le vagin, dont les parois vibrantes se resserrent pour les comprimer ; elle les pousse au plus profond et les retire alternativement, imitant le mouvement de la verge, en même temps elle se jette avec frénésie sur la vulve, où elle continue longtemps sa caresse délirante.

Claire pousse de véritables cris, elle a joui deux fois, trois fois, mais d’une jouissance inouïe. Germaine ne l’avait pas trompée lorsqu’elle avait dit qu’elle lui procurerait une jouissance extraordinaire.

Dès qu’elle a repris ses sens, la jeune fille témoigne à Germaine une vive reconnaissance du plaisir intense qu’elle vient de lui donner. Elle la prend dans ses bras et l’embrasse sur la bouche en lui murmurant des mots d’amour. Germaine, excitée au plus haut degré, a une envie folle de jouir ; elle regarde la jeune fille dans les yeux, d’un air adorable, lui disant tout bas :

— J’ai tant envie de jouir, tu n’as pas pitié de moi !

Claire rougit beaucoup, toute hésitante ; prise au