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Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/162

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dépourvu par cette idée de faire jouir une femme, elle ne répond pas.

— Je t’en supplie, ma petite Claire, répéta la jeune femme, j’ai tant envie de jouir ! Donne-moi seulement ta main.

Alors Claire, toute confuse, prenant brusquement son parti :

— Ce n’est pas ma main que tu auras, mais ma bouche.

Aussitôt, elle couche sa bonne sur le dos, lui relève robe et jupon, écarte largement la fente du pantalon et fourre gentiment sa petite bouche dans le fouillis de poils noirs de la jeune femme. Elle suce, lèche, mordille, s’escrime de son mieux, s’emploie de tout son cœur à cet exercice nouveau pour elle, et fait tant et si bien qu’elle ne tarde pas à recevoir en pleine bouche la copieuse éjaculation de la jeune femme pâmée entre ses bras.

Claire, mise en goût par la vue des charmes intimes de Germaine, de la jolie vulve, ombragée d’une belle toison noire et des fesses potelées, veut la voir toute nue. Elle la déshabille elle-même en un tour de main, jetant au hasard robe, jupon, pantalon, corset, chemise. Quand elle est nue, elle la contemple avec admiration, prenant les seins superbes à pleines mains, pelotant les fesses ; la