contents, que vous travaillerez bien, que vous serez bien sage.
Oui, oui, Père ; vous verrez, vous verrez. Où faut-il que j’aille ?
Quand vous aurez dit adieu à monsieur votre père, je vous mènerai au P. de Lanoix, qui vous mettra au courant.
Je voudrais être auprès de mon cousin Jacques.
Ah ! Jacques est votre cousin ! Je vous en félicite, car c’est un de nos meilleurs élèves.
Je vois, mon révérend Père, que je puis m’en aller sans causer de peine à mon fils. Adieu, Georges ; adieu, mon ami. Je viendrai te voir dimanche prochain. »
M. Dormère embrassa son fils plusieurs fois.
Adieu, papa, au revoir ; soyez tranquille, je suis très content. »
Et il se retourna vers le Père pour s’en aller. M. Dormère soupira, salua le Père.
Vous n’accompagnez pas votre père jusqu’à la porte, Georges ?
C’est que je voudrais bien rejoindre mes camarades.