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M. Dormère.
Va, va, mon ami. Ne vous donnez pas la peine de me reconduire, mon révérend Père ; je trouverai bien la porte tout seul. Adieu, Georges. »
M. Dormère se retira. Le Père fronça un peu le sourcil, mais ne dit rien au nouvel élève, qu’il alla remettre entre les mains du P. de Lanoix.
« J’espère que vous serez bien sage. »
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Quand M. Dormère remonta dans sa voiture, une larme mouilla sa paupière ; la froideur de l’adieu de son fils l’avait péniblement impressionné. « Serait-il ingrat ? se demanda-t-il. Moi qui l’aime tant et qui