fait sensation à l’école ; le maître d’école a ouvert la porte, les enfants sont tous sortis, et tous crient sans savoir pourquoi : « Vive M. Valentin ! vive notre ami M. Valentin ! » Valentin est fort ému ; il les remercie tous ; le brigadier donne des poignées de main de tous côtés. M. Pupusse accourt.)
Scène VII
Qu’est-ce qu’il y a donc chez le forçat ? On le met en pièces, on lui démolit sa maison ?
Prends garde à la tienne, méchante langue, mauvais cœur ! Tu voudrais bien qu’on mît en pièces celui que tu as toujours jalousé et détesté ! Il est plus blanc que toi, cœur de corbeau ! Et nous respectons, nous aimons M. Valentin…
Valentin le forçat ! Ah ! ah ! ah ! la bonne farce !
Prends garde qu’on ne t’en fasse une de farce, mauvaise langue ! et que nous ne te donnions une bonne danse que tu mérites !
Ils sont fous, dites donc, brigadier. Chassez-moi ce forçat qui déshonore notre bourg.