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M. d’Alban. Diloy se confondit en remerciements et en excuses du mal qu’on se donnait pour lui ; malgré son embarras, il ne pouvait dissimuler la joie qui éclatait sur son visage en se voyant si beau.
Le général.
Là ! Te voilà superbe ! Ce seront tes habits du dimanche ; je me charge du reste. Maintenant, viens chez moi : nous allons parler affaires. »
Diloy suivit M. d’Alban, qui donna ordre à son valet de chambre de prévenir sa sœur qu’il l’attendait ; elle ne tarda pas à venir, et ils commencèrent leur conférence.