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à rester ; il aura bien du chagrin ; il disait hier au brigadier : « Si Caroline me quittait, la maison me semblerait toute triste ; tout irait mal ». Et le brigadier a répondu : « Ce sera comme ça
Mme Piron m’a agoni de sottises. (P. 253)
partout où sera Mlle Caroline, monsieur le maire. On n’en rencontre pas souvent comme elle ; il semble que le cœur rit, rien qu’à la regarder. » Et papa s’est mis à rire et a dit : « Jamais je ne laisserai partir cette bonne Ca-