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XXV
la servante du curé
nanon.
Vous voici enfin ! C’est bien heureux, en vérité ! Je pensais que vous ne reviendriez plus ! Le dîner vous attend depuis un quart d’heure ; et Mlle Pélagie n’est pas trop contente, je vous en avertis.
le curé, avec bonté.
Ni vous non plus, à ce qu’il semble, ma vieille Nanon ! Mais, cette fois, ce n’est vraiment pas de ma faute.
nanon.
Ce n’est jamais de votre faute ! c’est connu. Vous avez toujours quelque bonne raison à donner.
le curé.
Mais si ma raison est bonne, je ne suis pas coupable.