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Page:Ségur - La soeur de Gribouille, Hachette, 1886.djvu/338

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le curé.

Comme vous voudrez, Nanon ; vous savez que ce n’est pas toujours moi qui suis le maître.

nanon.

Ce qui veut dire que c’est moi qui vous tourmente, qui vous rends victime ?

— Pas tout à fait, mais un peu, dit le curé en souriant. Mais nous voici arrivés ; voyons si le médecin a terminé son affaire. »

Le curé, suivi de Nanon, entra chez le brigadier, qu’il trouva avec Gribouille ; tous deux finissaient leur repas du soir.