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eut pourtant la pensée confuse que son trouble pouvait être interprété favorablement ; cet espoir la ranima, ses forces revinrent ; elle s’approcha de sa sœur tremblante :
« Pardon, ma sœur, j’ai été si saisie !
Le général, avec malice.
Et si heureuse !
Madame Papofski, avec hésitation.
Oui, mon oncle : vous l’avez dit : si heureuse de voir cette pauvre Natalie.
Mme Papovski s’était postée sur le pérron. (Page 117.)
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Le général, de même.
Et chez moi encore. Cette circonstance a dû augmenter votre bonheur.
Madame Papofski, d’une voix faible.
Certainement, mon oncle. Je suis…, j’ai…, je sens… la joie…
Le général, riant.
Eh ! embrassez-vous ! Embrassez votre nièce, vos neveux, Maria Pétrovna ; et remettez-vous. »
Mme Papofski embrassa en frémissant sœur, nièce et neveux.