parce qu’il était tout décomposé, tout noir depuis le matin. Adieu, mon cher petit Jacques bien-aimé, je t’embrasse bien tendrement… Adieu, petit chéri ; à bientôt.
Il y a longtemps que je ne t’ai écrit, parce que je me dépêche de finir à Kermadio un livre amusant qui s’appellera : Après la pluie le beau temps ; tu y joues un rôle assez important et très beau, comme de raison, en ta qualité d’élève de Vaugirard… Ton oncle Gaston est revenu à Paris mardi dernier. Dans tous les cas, il te ferait sortir. Il y a au Jardin d’acclimatation deux petits éléphants très doux, qu’on peut monter en payant la course. Dis-le à Léon, ou si Léon n’y est pas, à Méthol. Je t’embrasse encore ; Armand, tes cousines, etc., t’embrassent bien.
Tu peux être tranquille pour mon livre futur Après la pluie le beau temps. Tu seras le premier à en avoir autant d’exemplaires que tu voudras ; tu sais que tu es toujours le premier dans tout ce que je puis faire d’agréable pour mes