Ce vieux fou, presque en enfance ! Ensuite ?
Ensuite, à ma tante de Monclair.
Voilà un conseil bien choisi ! Un enragé, un fou et une folle. Ha, ha, ha ! »
Giselle rit aussi avec affectation : « Ha, ha, ha ! »
Giselle, je te prie de ne pas rire de ce que je dis ; c’est très impertinent, et je te prie de te taire.
Papa rit si bien. Je fais comme mon cher bien-aimé papa. C’est si drôle ce que vous dites. Ha, ha, ha !
Giselle, va dans ta chambre, et sois assurée que tu n’auras pas de bal.
Je l’aurai si mon excellent et cher papa veut bien m’en donner un. Il est si bon ! je l’aime tant !
Victor vous voyez le mal que vous faites, par votre trop grande bonté pour cette enfant. Ah ! Pierre et mon vieil ami avaient bien raison ! Nous la gâtons et nous la perdons. Je vous en prie, Victor, faites-la obéir ; qu’elle sorte. »