Page:Sélènes Pierre un monde inconnu 1896.djvu/283

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
267
sottise et routine

l’exactitude de ce mot d’un homme qui connaît bien cette administration que l’Europe aurait grand tort de nous envier :

« Il faut plus de temps à un dossier pour franchir la Seine qu’à un bateau à voiles pour franchir l’Atlantique. »


« Tréve de discussion, » s’écria-t-il (p. 269).

Enfin, un jour vint où la bienheureuse autorisation, revêtue de tous les cachets, paraphes, signatures, timbres, visas requis par un formalisme aussi puéril qu’inquisitorial, se trouva entre les mains de Mathieu-Rollére.