Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/109

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inséparable de pareilles circonstance. Ah ! que ces circonstances, ma chère cousine, feraient former de vœux, exciteraient de flatteuses espérances dans un pays où existeraient des hommes en état de sentir le mérite de la Comtesse, et d’être touchés de l’heureux accord des charmes les plus séduisans et des plus grandes qualités. Adieu, ma cousine, il suffit de vous avertir pour que vous fassiez ce qu’il y a de mieux : je m’en rapporte donc entièrement à vous.

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