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Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/141

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demander une femme qui doit avoir un jour quarante mille florins de rente, lorsqu’on est étranger dans un pays, et qu’à peine on a de quoi vivre… Cependant si la Comtesse m’encourage par des bontés marquées, si le Commandeur refuse le Prince, laisse sa nièce libre, j’aurai un grand espoir, et je tenterai d’aspirer au bonheur. Adieu, ma chère cousine.

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