Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/171

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voit des hommes heureux de son propre bonheur, comme il l’est du leur. Adieu, ma chère amie, vivons et nous n’aurons rien à désirer.



LETTRE CL.

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La Cesse de Loewenstein
à
Melle Émilie de Wergentheim.


Je n’ai pas dormi de la nuit, ma chère amie, en songeant au groupe heureux dont votre lettre m’a donné l’idée. Quoi ! vous et le Baron, le Marquis et moi heureux le même jour, et vos parens et les miens ne