Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/173

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imagination ne connaît pas de bornes, quand il s’agit de l’union de nos cœurs, vous dirai-je à quel point elle s’égare ? Je songe quelquefois à nos enfans, je songe à nous reproduire pour nous confondre. Adieu, ma tendre amie.

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