Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/200

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paraissent. Ménagez votre santé, calmez votre ame vive et sensible, dissipez-vous par quelque voyage. Je pratique ce que je vous recommande ; mais j’en ai plus de moyens et d’occasions. On vient m’avertir pour aller à un conseil. Adieu, mon adorable amie, mon univers. Je baise mille et mille fois vos belles mains, la main dont le don est à envier par tout ce qui respire.

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