Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/251

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avec bien de l’impatience, et je suis au désespoir de ne pouvoir me trouver à votre arrivée ; mais vous savez que je suis obligée de me rendre pour deux jours à Mayence. Vos soins ne laisseront rien à désirer pour notre amie, et je vous conjure de me donner de ses nouvelles demain au soir. Adieu, Madame.

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