Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/45

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afflige est sans exemple, mais il n’est rien dans l’humanité qui soit inoui, et c’est faute de réflexion et de savoir, qu’on est étonné.

Adieu, mon cher et malheureux ami, comptez que tant que je vivrai, vous aurez le père le plus tendre. Je vous embrasse mille fois de tout mon cœur.

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