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intellectuels, qui servent d’entr’actes aux plaisirs des sens, qui sont les seuls réels[1]; enfin, pour que l’imagination leur prête encore de nouveaux charmes, prolonge leur durée par d’ingénieuses recherches, et multiplie nos émotions. »
« Le terme des plaisirs doit être le degré où ils deviennent nuisibles à nous ou aux autres. »
« Celui qui a éprouvé dans sa journée, la somme de sensations agréables, dont ses organes sont susceptibles sans altération, et dont l’ame a éprouvé
- ↑ Ceux qui seront surpris de cette assertion, n’ont qu’à lire les lettres de Milady Montaigu, femme dont les mœurs n’ont point été critiquées, et dont l’esprit est reconnu, ils y trouveront : Les plaisirs des sens sont les seuls véritables.
Lettre XLIII.