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Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 1.djvu/240

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seroient pas si aimables si elles ne convenoient pas à
notre nature ; ces idées d’union, d’innocence, de plaisirs
durables, de travail paisible et de vertus douces, ne

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seroient pas si touchantes à nos cœurs si elles pouvoient
être absurdes aux yeux de la raison.