Aller au contenu

Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 1.djvu/269

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
qui nous ébranle et nous modifie le plus profondément, et qui agit
le plus sur ce que l’on nomme la sensibilité morale. De la
succession des sons. De la musique.
Vieillesse inévitable de l’espèce humaine. Vieillesse du globe.
Progrès du siècle présent. Possibilité pour l’homme d’une extension

25

beaucoup plus grande encore. Limites insurmontables de
ses facultés passives. Des tems de superstitions et de servitude.
De l’époque où tout sera indifférent, ridiculisé et avili. Des lieux
où l’homme pourroit encore s’arrêter et prévenir une plus funeste
déviation.
FIN