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Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 1.djvu/98

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fique, il n’est plus d’art, plus d’effort, on se consume

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lentement, on périt dans l’abattement, c’est un calme de
mort. L’homme de génie s’élève contre de grands
malheurs, il les combat, il les surmonte. Quand de
lentes douleurs l’oppriment froidement, quand les ennuis
le harcèlent et l’accablent, il est terrassé sans combat, il

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s’éteint sans résistance.