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- …à le détruire (Ibid., n. 4, 2-3). Quel seroit le mal…
- …la nature impérissable (Ibid., n. 4, 5) ? Tout ce qui
- est… …qu’il est mauvais. (Ibid., n. 4, 6-15).
[14]
- Le beau, le vrai,… | …d’un autre age (Ibid., 206-
- 227). La mouche, l’homme et les mondes ont leur
- sépulcre dans la nature essentiellement vivante.
- Une même force entraîne les êtres animés et les êtres
- stériles ; tout est semblable, le principe est homogène :
- mais la figure se compose sans cesse ; et l’ordre, c’est la
- mutation. L’homme se forme,… … se corrompt (Ibid.,
- 228-230). Les globes sont… … passager comme lui.
- (Ibid., 231 -237).|
[15]
- De cette universelle mutation, que résulte-t-il ? le
- mouvement partout et toujours. Il semble que le mouvement
- soit le seul résultat des formes. Le principe de la
- nature, et j’entends ici par nature l’ensemble des lois qui
- modifient les êtres, le principe de la nature n’est peut-être
- que la plus grande somme possible de mouvement. Le
- mouvement visible pour nous n’est pas le plus grand
- que l’on pût imaginer, mais c’étoit apparemment le seul
- qui pût être perpétuel. Il falloit qu’il fût actuellement
- considérable, mais il falloit surtout qu’il fut éternel.
- Il n’y a point d’autre fin des choses connues : l’œil est
- fait pour voir sans doute, mais non dans cette fin première
- que l’individu voie. La vue lui sert à éviter de nombreux
- dangers ; voilà l’usage de la vue, l’usage individuel : mais
- ce n’est point dans ce résultat borné qu’il faut chercher
- le but général de ce sens donné aux animaux. Ils voient
- afin que sentant ainsi les objets éloignés, ils soient
- constamment avertis et frappés par une multitude de choses,
- afin qu’ils reçoivent et rendent un plus grand mouvement.
- Le mobile le plus actif est le plus parfait. Ainsi
- l’animal est au-dessus de la plante ; les climats orageux