Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 2.djvu/28

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reproduire jusques dans les entretiens familiers, les idées
auxquelles on s’est attaché. C’est peut-être ailleurs qu’il
faudra s’instruire de ce qui convient à l’homme ; ici nous
nous proposons seulement d’en conférer.




SECONDE RÊVERIE



Que de grandeur… …majesté tranquille (Ob.
XVI, 4-5) ! À la vue des astres… …la nature a
d’incompréhensible (Ibid., 9-10). Il y a là… …ne passent
point (Ibid., 11-13). L’ame est accablée… …aux
erreurs (Ibid., 5-7) la pensée… …les cieux immuables.
(Ibid., 13-15).

[10, 11]

Triste et indéfinissable… | … | …éternel néant
(B. I, 86-124.) ? Profondeur vraiment sinistre !… …
siècles plus heureux (Ibid., 128-137). Ce soleil… …
sur ma tombe. (Ibid., 138-142).
Homme trompé !… …de tes douleurs (Ibid. 154-161).
Tu ne seras plus : qu’importe ? Quel rapport y a-t-il

[12]

entre demain et aujourd’hui ? pour | quoi sais-tu que
demain viendra ? Demain tu ne seras… …moins
aujourd’hui (Ibid., 161-162) ? As-tu gémi… …à la
nécessité (Ibid., 164-168). Cède pour n’être… …à la
force irrésistible. (Ibid., 170-174).
Si tout est nécessaire,… …comme sans liberté
(Ibid., 178-188). Elle ne peut être… …universalité

[13]

des | choses (Ibid., 190-198). Tout ce qui est…
…composition du tout. (Ibid., 202-205).
Le beau ou… …fantastique et impossible (Ibid., n.
4, 1-2) : il suppose des rapports, et dès-lors il ne peut
être conçu que dans des êtres partiels. Le mal ne peut…