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- 10-11), et le silence… …des hautes vallées (Ibid.,
- 9). La terre féconde,… …et contiennent (Ibid., 13-
- 15), et l’éloquence des choses n’est que l’éloquence de
- l’homme.
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- Mais les relations… | …bornés, mais certains. (Ibid.,
- 30-39).
- Les relations de l’homme à l’homme excitent mieux toutes
- nos passions ; mais elles sont accompagnées de trouble,
- elles nous maintiennent dans une agitation continue, et le
- repos qui vient ensuite, nous accable comme le silence
- de ces déserts nus où il n’y a ni variété ni mouvement,
- rien à chercher, rien à espérer. Les soins de la vie agreste
- animent l’ame sans l’inquiéter ; ils la rendent heureuse :
- les sollicitudes de la vie sociale l’entraînent, l’exaltent, la
- pressent de toutes parts ; et c’est précisément parce qu’elles
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- l’agitent, qu’elles | en surprennent les désirs et qu’elles
- en asservissent les penchans. C’est une sorte de jeu
- intéressé qui retient l’homme en le fatiguant : sa funeste
- habitude lui rend nécessaires ces alternatives d’espoir et de
- crainte qui le passionnent et le consument.
- Quand le sentiment des choses factices nous devient
- aussi familier que celui des choses simples, ce dernier
- s’efface insensiblement dans nos cœurs : ce n’est pas que
- l’autre nous plaise davantage, mais il nous agite plus
- fortement, et de toutes les habitudes la plus difficile à vaincre
- peut-être est celle d’un mouvement extrême.
- La passion cherche… …et moins funestes (Ibid.,
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- 39-42). S’il faut que… | …sont reçues (Ibid., 45-67)
- avec cette indifférence… …poids qui l’écrase ? (Ibid.,
- 68-71).