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TRENTE-UNIÈME RÊVERIE
ouvent je m’enfonçois… …des- genièvres (Ob. XI, 79-82) et un filet d’eau pure dans
- l’herbe fleurie, j’éprouvois un sentiment… …des
- choses naturelles (Ibid., 82-84) dans l’âge…
- …heureux, (Ibid., 84-85).
- Mais quand j’arrivois… …plaines labourées (Ibid.,
- 77-78) et désertes, ces châteaux dans les campagnes nues,
- ces… …lointains (Ibid., 78-79), ces chaumières
- entassées, odieux amas dont les rues, les étables et les
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- pota|gers, les murs, les planchers, les toits humides et
- jusqu’aux hardes et aux meubles ne paroissent qu’une
- même fange, dans laquelle toutes les femmes crient, tous
- les enfans pleurent, tous les hommes suent.
- Quelquefois j’errois… …lièvre en fuite (Ibid.,
- 87-97). C’est à cette époque… …arbre solitaire
- (Ibid., 100-101) que je ne rencontre… …sans plaisir
- (Ibid., 101-102). j’aime cette écorce… …ne
- sauroit oublier (Ibid., 102-106) ! Que l’homme paroît…
- …sécher son cœur (Ibid., 107-110) ! Heureux celui
- dont le bras libre de lois étrangères, ne s’est point fatigué
- sans trouver la jouissance prix naturel de son effort.
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- Bien | plus heureux celui qui n’a jamais été trompé par
- le triste avantage de ces plaisirs insipides que les
- travaux n’ont pas achetés, de ces plaisirs stériles dont la
- fortune nous accable en ses perfides faveurs. Le travail
- corporel fait le prix de nos jours, seul il en éloigne l’ennui,
- l’indifférence et la satiété. Tel n’est pas le sort de